dimanche 5 avril 2009

NOUVELLE PORNO EROTIQUE ET DEFINITIONS



PERVERSION

La perversion est à l'origine le fait de détourner de leur destination normale des fonctions naturelles, en particulier dans le domaine des comportements sexuels et affectifs. Afin d'éluder sa connotation péjorative, due au fait que beaucoup de perversions sexuelles sont dommageables et réprimées par les sociétés comme des délits ou des crimes, ce terme tend à être remplacé aux États Unis par des néologismes comme paraphilie.
Le signifiant perversion donne souvent lieu à de nombreux malentendus. Issu du vocabulaire moral et même ecclésiastique, il garde le plus souvent cette connotation de condamnation morale dans le discours courant. Les variations d'acception et même les luttes idéologiques qui sous-tendent les différentes perceptions de la perversion montrent que cette notion est un enjeu important qui agit comme un indice de la valeur sociale qu'accorde la société, à un moment donné, à la sexualité. Certaines pratiques considérées autrefois comme perverses par le discours moral, sont aujourd'hui communément admises, on en verra des exemples plus loin.


AMOUR

L’amour est un sentiment envers un être ou une chose qui pousse les personnes qui le ressentent à adopter un comportement, plus ou moins rationnel, les entraînant principalement à rechercher une proximité pouvant être tendre, physique, passionnée, intellectuelle, spirituelle, voire imaginaire, vis-à-vis de l'objet de cet amour.
L'amour peut être, selon la situation, faible, fort ou obsessionnel. Selon ces critères, il peut être plus ou moins contrôlé par la personne qui le ressent.
Par extension, l'amour désigne nombre de choses qui sont liées à ce sentiment, telles que, par exemple, l'objet de cet amour (« Mon amour »).


UNKNOW PLEASURE


Je rentre dans l'eau tiède de cette nuit d'été, nu, et je plonge mon visage sous l'eau et ça rafraichi mon esprit éméché. Nager nu c'est avoir des parties de soi qui sont rarement aussi libres, comme de souffler un grand coup. Mon frère reste allongé sur la roche, en caleçon, la bouche grande ouverte. Je vois sous la lumière sélène, Juliette seins nue se dépecer habilement de son jean et elle plonge comme le fantasme d'une naïade avec la flasque dans sa main, je vois l'eau blanchir. Un silence et elle réapparait à coté de moi, dans l'eau, le blanc de ses yeux et de ses dents en sourire ressort de cette obscurité blanche elle aussi.
- Je crois que ton frère est une cause perdue.
- Surement et j'ai bien envie de le rejoindre dans cette cause..Viens je connais un bon endroit pour boire tranquillement dans l'eau.
Elle me suit dans une nage indienne jusque sur le gros rocher seul au milieu de l'eau profonde, là où l'on a pied. Elle ouvre la flasque de cognac, hume, bois, grimace, tousse, on sourit et elle me tend cette alcool. Je regarde ses doux petits seins aux tétons acérés par la fraicheur.
- Tu les aimes ?
- Ils sont très supportables. Et les miens tu les aimes ? J'aimerais une taille de plus dans mon optique transsexuel.
Elle hoquète un petit rire de fille.
- T'es con.
- Tu l'aimes ma connerie hein.
- Elle est pas mal, comme ton bonnet AA.
Je me brule l'estomac avec de grandes gorgées et je retombe lentement, silencieusement dans l'eau de temps en temps avec mon équilibre qui disparait. Je souris constamment, elle aussi et je finis par tomber vers elle, m'arrêtant prés de sa petit bouche pleine d'un rouge à lèvres bonbon, ses petits tétons bandant contre la peau de mon torse. Elle ne tressaillit pas et on s'embrasse dans la même glissade. Nos bouches, nos langues alcoolisées se goutant goulument et je sens qu'elle sourit. Elle glisse une mains sur mon ventre et un bras autour de mon cou. Je crois que la flasque flotte et mon érection gluante tapote contre elle sous l'eau, contre son ventre, ses cuisses, sa culotte. Sa main s'empare de ma queue et de mes couilles en une seule main étalée, décalottant ma verge sur ses petites mains et je sens ses bracelets sur mon gland avec ses va-et-vients. Nos regards sont devenus sensuels et sérieux, les yeux mis clos, la bouche entre ouverte. J'ouvre ma bouche et sort ma langue qui vient aspiré le bout de ses seins avec un gout de sel, je sens sa tête partir en arrière avec ses yeux clos, ou observant la lune en croissant. J'empoigne ses deux mamelles et les serre l'une contre l'autre avant de les téter avec amour pendant que sa main continue de sentir mon sperme perler en flottant dans le liquide salé. J'appuie mon genou sur son sexe au travers de sa culotte et je sens sa chaleur, je sens que ça glisse, même au travers, je sens sa fente qui se dilate et qui me veut. Des petits sons positifs glissent de sa bouche pour envahir l'obscurité liquide, le toucher d'une algue visqueuse sous mon pied droit et je plonge dans l'eau noire pour enlever sa culotte à rayures bleues d'une main. Pendant que l'autre agrippe son rond fessier et deux de ses doigts glissent dans cette raie, titillant le petit cercle anal de son cul. La culotte part et disparait je ne sais où et, m'occupant de ses fesses avec une main, je pose ma bouche et ma langue sur son sexe à moitié rasé, glissant ma langue visqueuse sur son clitoris chaud et glissant, jusque dans l'intérieure de son sexe brulant, elle caresse mon dos et mes cheveux. Le son de l'eau commutant avec le son de la surface avec les vagues. Elle tire mon visage hors de l'eau par le menton.
- Te noies pas.
Je la sens greloter.
- Finis moi sur les rochers.
Je l'embrasse et me jette dans l'eau, sentant mon érection ondulé avec cette nage. Elle sort dégoulinante de l'eau, devant moi et je croque une de ses fesses blanches à coté de sa peau bronzée.
- J'ai froid garçon.
Je lui prends la main droite, la serrant contre moi, ma queue chaude sur son ventre de fille, frottant son dos, embrassant son cou. Elle remue son sexe avec trois doigts, frottant, j'entends qu'il est humide. Je caresse son fessier et elle frotte sa poitrine sur moi. Ma main mêlée dans ses cheveux trempés. Je la fait s'allonger sur une roche plate et je prends ses pieds et je suce un de ses gros orteil pendant que ma queue frotte, glisse sur le gluant qu'elle dépose sur sa cuisse. Elle caresses ses seins, piégeant ses tétons entre ses petits doigts vernis de bleu, la tête vacillante, les cheveux collant la pierre, le souffle gros. Puis je lui cale un doigt frottant ses parois trempées, appuyant, remuant sur son clitoris du pouce, ses pieds se contractant sur mes épaules. Quelques va-et-vients foudroient son sexe et un deuxième doigt vient l'écarter plus encore, ouvrant plus encore cette grande fente. Elle dit mon nom et mes deux doigts la pénètrent mécaniquement, ma langue vient lécher cette ensemble, puis un autre doigt vient caresser son cul. Ce petit rond, ce petit trou et j'appuie mon doigt dessus, jusqu'à ce que le bout y rentre, je la sent se contracter et sa main droite viens écarter une fesse humide. Ma langue glisse jusqu'à son cul, et j'écarte son petit anus pour glisser ma bouche dessus et j'appuie ma langue dans ce trou. Ses talons sur mon dos, elle frémit et dit :
- Je veux te sucer, je te veux dans ma bouche.
Je m'avance au dessus d'elle, à genoux, jusqu'à sa bouche, elle empoigne ma queue gonflée durement, tire sur la peau pour sortir mon gland visqueux dans sa globalité et l'enfourne entre ses lèvres, goulument avec des gémissements, je vois ses joues se creuser et je caresse ses cheveux qui se collent à ma peau puis elle gobe mes couilles une par une, un doigt dans mon cul et je commence à gémir plus fort.
- Je veux te prendre ma belle.
- Prends moi à quatre pattes, je te veux.
Elle s'assoit et lèche mon ventre puis mon torse en me masturbant et elle se retourne puis je prends ses fesses dans mes paumes sèches. Elle plie une de ses jambes et son pied crispé viens frotter mes couilles et mon trou du cul. J'écarte ça, et frotte ma queue entre ses fesses, titillant son petit trou avec mon gland, le rentrant à moitié.
- Frappe mon cul beau brun.
- Oui.
Je claque son petit fessier blanc qui rougi légèrement son plaisir grandi. Elle englouti ma queue dans sa fente trempée, sans résistance et elle remue son bassin et ses fesses claquent sur mes cuisses et ça fait un petit bruit agréable à travers le bruit des vagues que je vois mourir derrière dans un gargouillement blanc. Mes mains sur le coté de son bassin, je claque son beau cul et à chaque fois elle relève la tête en gémissant, qui retombe ensuite dans le rideau de ses cheveux pendant qui perlent d'eau de mer. Je pénètre son cul du bout d'un pouce et je remue. Sentant la chaleur de son sexe augmenter, et moi en elle qui glisse rapidement, étouffant nos cris dans des sons brefs. Elle écarte son cul et le caresse. Mon sexe glisse en dehors d'elle et quand je le remet je choisi son anus, et je la sodomise en glissant doucement jusqu'à la moitié de ma queue, la sentant sur le qui vive et laissant des gémissements plus longs sortir de sa belle bouche. Je caresse son dos terriblement doux et bronzé jusqu'à mettre un doigt humide de sa chatte dans sa bouche et elle le suce avec passion.
- Ma belle, tu me rends dingue.
- Je te veux en entier, vas y.
- T'es sure?
- Vas-y je veux, tu me rends folle.
Et ma queue glisse dans son cul avec ses deux mains tirant vers l'extérieur ses belles fesses rougisses et elle se contracte de plus belle et gémit en courbant une échine magnifique. Il y a trois lents va-et-vient expirés et elle me sort de son cul ouvert et sur son dos elle prend ses jambes contre ses seins, pieds en l'air et je la pénètre, claquant mes couilles sur son cul. Nos yeux grands ouverts le regard encastré, elle caresse ma joue.
- Oui oui ouiiiiiiii vas-y oui oui.
De nombreux "oui" et mes grognements jouissifs.
- Vas-y ça vient, ça vient.
Elle tremble et hoquète et je vois mon frère plus loin toujours allongé. Ma bouche s'ouvre en grand silencieusement et mes sourcils se froncent, elle me sert contre elle, je sens nos peaux suantes, ses jambes m'enlacent avec force, s'étouffant dans le creux de mon cou avant de laisser un grand gémissement de soulagement gonfler l'air, je crie sans bruit dans ses cheveux avec nos explosion abdominales. Il y a un grand vide.
L'un contre l'autre dans les humidités mélangés, aspirant l'air lentement, paisiblement les yeux fermés, se caressant nos cheveux mouillés, les paumes, le dos. Contre la pierre chaude sous nous.
Il y a un lézard sur la paroi rocheuse, que je vois rouge dans le noir.

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