mercredi 20 mai 2009
TRICO : LYRISME VIDEOLUDIQUE
Il y a des claques artistique qui font pleurer de joie. Des sursaut magnifique qui apaisent des mauvaises choses.
Ico est le premier jeu a avoir atteins un tel niveau de poésie dans le polygone vidéoludique a son époque. Digne des plus grandes œuvres poétique, beau, intelligent, touchant. Il y a "Le roi et l'oiseau" croisé a du Myazaki, de la 3D a l'identité graphique et sonore unique. Un expérience qui retourne par sa sincérité, sa beauté extrême qui creuse dans nos ventres.
Dans le premier chapitre, Ico, il fallait s'échapper d'un château en tenant par la main une muse qui parlait une langue incompréhensible. L'amour, la différence...et autres. Traiter d'une bien belle manière.
Dans le deuxième, "Shadow of the collossus", l'on cherchait a détruire des colosses éparpiller entre montagnes et plaines, dans l'objectif de ressusciter sa femme aimé qui avait rejoins la mort. Se clôturant d'une manière magistrale et inattendu, faisant le lien avec le premier épisode.
Deux objets qui donne l'excuse des pleures.
Le troisième projet tant attendu du père créateur de ces œuvres au delà du biblique par sa force, semble être un troisième chapitre de cette apparente trilogie a la beauté infinie. Bande annonce tomber du ciel, qui émeu tant par l'image et le son, que par l'aventure auquel il faut s'attendre. Un imminente gravure dans nos cœurs sortie du froid esprit d'une machine qu'est la ps3..
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