lundi 8 juin 2009

ALBUM GRATUIT AVEC CASTING DE LUXE ET SOMBRE HISTOIRE

DARK NIGHT OF THE SOUL


David Lynch aux manettex de l'emballage graphique d'un projet musicale ambitieux, tenue en laisse par un Danger Mouse a qui l'on ne demande plus de faire ses preuves (gorillaz, gnars barkley...). Lynch qui participe même a un morceau de l'album, accompagner des Flaming lips, Sparklehorse...Et autre. Danger Mouse producteur génie de notre époque qui multiplie les projets musicaux d'ampleur a la vitesse de la lumiére. Ici un recueil de bon s voir trés bon artistes, facon gorillaz non travesti en cartoon.

Embrouilles entre EMI et le monsieur Danger qui l'a donc pousser a proposer tout cela en téléchargement gratuit (et légale) sur le net et qui compte sortir l'album dans une édition de luxe accompagner d'un livre de Photo de Lynch.

A télécharger ici :
http://www.pingpong.fr/page%20DNOTS.html

CLIP POUR FAIRE UN TRIP A L'ACIDE MULTICOLORE AVEC DU JUS DE PAMPLEMOUSSE (AVEC LA PULPE)



On hésite entre avoir la nausée et trouver ça super. Ça fais presque mal au yeux et puis le choc masse la rétine. Ça hypnotise et ça porte entièrement dans son délire graphique original, dans sa recherche fluo multicolore pour non-junkie. Dans un style cousin d'animal collective avec danseuses hybrides sensuelles et caléidoscopé.

Vous aviez déjà eu droit au MP3 explosif du dernier Basement Jaxx, voici donc le clip. Car oui ici on suit la vie d'un morceau, on l'appel, on l'aide en cas de soucis, on lui offre notre table et notre canapé.

vendredi 5 juin 2009

MORCEAU POUR BOIRE AU SOLEIL AVEC SES AMIS ET AVEC DU TETON MULTISEXE TOUT AUTOUR


DJ KAOS / LOVE THE NITE AWAY (tiedye remix)

SAUMON OU OLIVE ?

Il y a "Dj" et "remix" pourtant c'est un morceau muy caliente avec du piano reverbé, de la perc ensoleillé, de la guitare Africanisante, de la basse groovy lovers et un chanteur "année 80 chemise ouverte déhanché inversé avec mouvement d'épaules" qui dit "love" plusieurs fois.

Un parfait avant gout d'été pour avaler ses apéricubes pieds nus et avec classe sur un sable toujours chaud. Il y a des grosses lunettes de soleil mouches a merde mais aussi des Wayfarer et des lunettes aviateurs. Des marques de bronzage qui montre qu'elles font du seins nues. Des garçons en chemises aérés, qui ne demande même pas a ce qu'on mette du David Guetta.

La love ambient musique joyeuse, pour rayons de soleil 2009. Le label du papa de Lcd Soundsystem nous offre un doux tube rafraichissant, mieux qu'un brumisateur mis au frigo. Mes préférés c'est tomate et olive.

08.47858 / 10


MP3 :
http://downloads.pitchforkmedia.coM/DJ%20Kaos%20-%20Love%20The%20Nite%20Away%20(Tiedye%20Mix).mp3

jeudi 4 juin 2009

VIDEOS AIME DES AIRS

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ALBUM POUR AIMER, MOURIR ET FAIRE DES TRUCS D'ART CONTEMPORAIN CASSE COUILLE


GONZALEZ / SOLO PIANO
COMME LA B.O D'UN VIEUX FILM D'ANIMATION

La première influence senti c'est celle d'un Eric Satie au modernisme étonnement précurseur dans le monde de la musique pour son époque. Nourri d'une misère dans la fin de sa vie qu'il cacha a ses proches et qui joua certainement sur ses compositions si particulières.

L'esprit se reflète dans la musique de son créateur. Oui je sort de grande phrase pour me la péter a des soirées champagne et faire comme si j'étais assez intelligent pour donner des leçons de vie cosmologique. Je fais des économies de baises pour plus tard.

Satie fais parti des artisans du son qui fit évoluer les choses. Comme Aphex Twin il y a une vingtaine d'année. Ces créateurs bâtisseurs offrent la matière.

Gonzalez une centaine d'années plus tard joue dans ses plates bandes, avec un un modernisme non précurseur lui , mais toujours agréable a entendre jouer par ses habilent doigts de pianiste passionné et amoureux des touches blanches et noirs qui défilent.

Mélodique, poseur qui instaure une ambiance pour amants, triste, joyeux, mélancolique...Grand melting pot pour désespérer, aimer, mourir en se bourrant d'aspirine, faire la cuisine, boire du vin pleins de résidus et voir des artistes a la con manger leur caca pour dénoncer le régime totalitaire nord coréen.

Une best of de sentiments musicaux qui s'adapte a tout avec une beauté simple. Malgré son classicisme assumé il me permet de sortir LA phrase de vieux con "On en fais plus des albums comme ça" et c'est bien dommage. Pour une traversée onirique qui arrive a envahir l'espace sobrement a en immerger totalement l'esprit des mangeurs de sons.

08.50 / 10

Solo piano en streaming :
http://www.deezer.com/#music/album/100224

mardi 2 juin 2009

ABOUT BLANK : CHAPITRE 15


Chapitre 15/ Deuxième pièce



- Quand j'étais petite il y avais un poisson, qui m'avait dit...je crois que c'était une sole. Oui c'est ça une sole. C'est bon la sole.
D paraît contente de dire ça.
- Dans un rêve ?
- Je crois, je ne sais plus. Donc cette sole vient me voir, alors que je cherche tranquillement, tubas dans la bouche, de beaux coquillages dans le sable du fond marin.
- Elle viens te voir et ? Attends, elle avait un tuba aussi ? La sole ?
- Pourquoi elle en aurait un, ça respire de l'eau, c'est un poisson.
- Ah ouais. Quoi que ça ne respire pas vraiment, est ce qu'on peut « respirer » de l'eau ?
D me regarde sans rien dire, sans rien paraître. Je suis gêner.
- Oubli ce que je viens de dire, il faut que je me soigne.
- Donc elle vient me voir et me raconte qu'il ne faut jamais couler dans la mer, aux endroits sombres. Car la mer aux endroits sombres n'a pas de fond.
- Je vois que t'a commencé tôt.
- Commencer quoi ?
- Je ne sais pas j'hésite entre la névrose et la drogue.
Notre bus s'arrête. Le bus s'arrête, plutôt. D attrape son sac au-dessus de nous dans le compartiment a bagage. Un sac Marc Jacob et fait tomber un vieux sac de sport qui étais contre le sien. Le sac tombe sur une place vide. Je ramasse ce sac, le remet dans le compartiment a bagage. Je me rends compte que c'est le miens ce sac de sport. Et le récupère sans expressions pour le suspendre a mon épaule. Le centre n'étais qu'une mascarade. Ça m'a beaucoup fait réfléchir. Je voulais faire publier mon cahier en sortant de là-bas, mais ils l’on brûler. Son vrai nom est « Centre de renaissance ». Manipulation par voie mentale, par conditionnement inhabituel. Milieu de vie mystérieux, étrange, effrayant, déshumanisé, sans amour ni haine. Toutes les pilules sont des placebos. Auto thérapie. D m'a raconté que les riches utilisent ces centres pour rendre plus docile et heureux les gens qu'ils aiment. Je me dit que l'amour a une drôle de définition, je me dit « le père de D ne m'aime pas ». Je n'est plus peur d'avoir d'enfants moche. D m'a dit qu'elle n'avait pas su. Je la crois. Impression que tout le monde perd la boule, je ne comprends pas non plus pourquoi je ne l'es pas plus perdu après deux mois la bas. Pourquoi je suis tant habitué a des choses aussi étranges. J’ai peut-être atteint un stade de folie où cette folie est ma réalité, ou je ne suis pas fou, juste conscient. Dans peu de temps je me retrouverais peut être a m’arracher les dents une a une au marteau pour éviter d’être contrôler par le gouvernement qui se fait passer pour des placebos dans des centres de renaissance. Des choses étranges. Des choses qui semblent maintenant être partout. Ou peut être n’avais-je jamais remarqué a quel point des tas de choses du quotidien son bizarres, étranges, flippantes. La manière qu’a un voisin de planter un clou. Clou planter nulle part pour rien. Planter d'un drôle d’air, je pense « Body snatcher ». Un petit garçon, dans les sept ans, tournant autour d’un palmier, chantant « Maman est ce que je peux tourner autour de ton trou du cul ? trou du cul, trou de balle. Maman est ce que je peux … ». J’espère que ce centre n’étais pas une secte qui m’a laver le cerveau, endoctriné.
Me retrouver dans un suicide collectif en plein milieu de nulle part. Sur un plateau montagneux désertique, perdu au Pérou. Habiller en toge blanche a capuche dans le style d’un mauvais remake du seigneur des anneaux, et y croire. Injecter du poison dans la bouche des enfants de la secte pendant qu’ils pleurent et se débattent, et y croire. Pas de secte s’il vous plait. J’espère que je ne deviens pas schizophrène. J’espère que les choses que je vois existent, même si j’aimerais qu’elle n’existe pas.
Je ne crois toujours pas en Dieu.
D dit qu'il y a eu des suicides réussi au centre de renaissance. Je lui est demandé comment elle le savait, elle ma dit que les gens riches ne cache pas ce genre de détail, que la mort a une autre dimension dans leur monde. Je lui dit que c’est son monde, pas celui de tous les gens riches, tous les gens riches ne sont pas comme ça. Elle dit « peut être ».
Ça fait beaucoup de « peut être », « choses », « étrange », « bizarre », « ça ». Le centre de renaissance se trouve la ou il fait presque toujours nuit, presque toujours jour. Quelque part sur terre, loin de tout. Ou il fait froid. Je ne m’étais sûrement jamais autant rapproché du cercle arctique. Ce centre magnétique énorme. Point de repère mondial et basique qui permet de ne pas se perdre. Au lieu d’avoir fait une petite sieste dans un taxi, j’ai étais endormi, anesthésier, pendant de longues heures, peut être même une journée entière. Je lui est demandais pourquoi est ce qu’elle m’avait fait venir à Avignon, elle me dit :
- La mise en scène de notre vie est importante.
Jamais je n’aurais cru entendre D dire cette phrase. Comme le tueur froid, conscient de tous ses actes, qui n’a rien a perdre. Je ne l’aurais jamais cru capable de dire une chose si vrai, juste et réel. « Vrai » et « réel » ne sont pas les même choses. D qui me fait la leçon de vie. Ma mégalomanie en prend un coup. Je sort du bus, D est face a moi, ont s’embrasse. Derrière elle il y a Cannes. Sans festival.

lundi 1 juin 2009

VIDEO POUR METTRE SON CUL SUR EMINEM ET LE FAIRE PARTIR AVEC SA TETE QUI FAIS PEUR

Depuis Longtemps Sasha Baron Cohen aime montrer son cul et faire des blague de cul bien lourde. Depuis Borat et son succès phénoménale il a pu s'ouvrir a des rôles plus dramatiques façon Sweeney Todd. On se dit qu'il s'est calmer et puis on commence a voir le bout du nez de son prochain film "Bruno" et puis on le vois présenter les MTV movie awards...
Eminem a une gueule qui fais peur aujourd'hui, après avoir pris puis perdu une centaine de kilos, s'être étouffer dans la coke, avoir fais des crises cardiaques a la pelle, normal.

Et bien Sasha en ange bordé d'un string viens mettre son cul sur sa gueule de cul et Eminem ne semble pas apprécier les blagues qui sentent le trou du cul.
En même temps son dernier album est mauvais et il a une tête de cul, tant pis.

Faut rire.

MORCEAU INEDIT POUR VOIR L'UNIVERS IMPLOSER


PISTACHIOS / GE-996

Tiré d'une vidéo démo du graphiste/réalisateur "Pistachios" ou l'univers s'effondre pour laisser place a un étrange Dieu. La musique rappellerais un Jean Michel jarre moins pompeux et plus pop qui ferait la B.O d'un film de guerre entre des bonbons.

Tristement lumineux, collant avec perfection a une fin du monde tout en restant scintillant dans son bouillonnement aigus. Magnifique. Un réel tour de force que de faire un morceau pareille aujourd'hui.

Le cosmos te mange tout cru.

MP3 :
http://www.zshare.net/audio/608083269dd243fd/

dimanche 31 mai 2009

LE RAP CANADIEN FAIS COULER L'URINE

Grand corps malade + Fity cent +
Jean claude van damme + Canada


Roi Heenok, rappeur Canadien devenu la nouvelle effigie JCVD d'aujourd'hui. En plus d'avoir l'accent Canadien, ce jeune homme qui se prend pour un gangsta au flot dévastateur aime nous infuser sa philosophie accompagner de sa bande d'ami tout aussi gangsta que lui, pleins d'humour involontaire. Mélangé a des cris de guerre inventés qu'on ne peu imité en mots.
Le Roi porte bien son noms.

Le Roi semble avoir sniffé de la poudre piquante de bonbon coupé avec des Pogs vers ses 8 ans et ne jamais s'en être remis. Errant comme un grand corps malade dans ses jeans épais, espérons qu'il nous produise le prochain Lorie.
Lorie faisant sa Biatch Canadienne, parlant de viande rosée, on serait enfin apaisé.

Célèbre depuis longtemps, on ne se lasse toujours pas de tomber sans cesse sur les nombreuses et nouvelles pépites du 50 cent soldé Canadien.
Son expression : T'entends !

Ouais j'entends bien merci.



vendredi 29 mai 2009

MORCEAU POUR LONGER LES RUE VIDES ET SANS VENT UNE NUIT EN SEMAINE


CAN'T HEAR S MY EYES

Je ne peux pas entendre mes yeux.
Mais bien sure. Aller viens gentillement dans la fourgonnette, elles, tes oreilles t'y attendent. Voila doucement...

Titre de "poète sous amphétamine tous juste sortie d'une projection de "Bambie director's cut" dans un quartier d'artistes New Yorkais. Le mec rentre chez lui, pose sa veste militaire, bois un panache et compose ce morceau de ville nocturne pop romantique. Tout ca dans les années 80 évidemment. Avec une veste noir en faite.

Il y a le synthé scintillant, le synthé brillant, les trompettes et la voix veste noir et mine un peu kitch. On l'écoute la nuit, sortie d'une station radio fantôme en regardant les rue vides.

07.50 / 10

MP3 :
http://www.zshare.net/audio/606934284389ee0c/

CHRONIQUE

LES
ORDURES
PLEINES
DE
PLASTIQUES



T- Parfois j'ai l'impression qu'on est l'exacte caricature de ce qu'on ne veu pas être. Quand essayant de l'éviter l'on deviens ca.

G *Quand tu me parles comme ça, t'es l'exacte caricature du sociopathe que tu te fais de toi.

T - Peut être.

G* "Peut être" m'a toujours sembler étrange comme formule.

T - C'est a dire ?

G* Comme un truc créer pour simplifier le monde, rendre les choses plus rentable, faire en sorte que les gens soit plus a l'aise a l'idée de ne pas forcément avoir d'avis. En tout cas en faire économie.

T - Je peu me boire quelque chose ?

T se lève pied nue, laissant sa main toucher le mur, il ouvre le frigo vert. La lumière épouse la silhouette de T buvant a une bouteille, la silhouette va se montrer a G. G frotte sa langue sur le devant de ses dents en plissant les yeux. T revient et s'assoit les lévres humides.

G* C'est ton truc aussi de poser des questions juste pour les poser, te foutre de la réponse.

T - C'est le genre de question qui est une habitude, et dont tous le monde se fout. Et toi tu dis truc tous le temps.

G* On part sur tellemnt de choses différents la, je crois qu'on s'es défoncés en brulant les ordures de ton oncle. En plus il nous donne de l'ragent pour ca. Une drogue pour laquel on te paie.

T - J'aime pas les drogues, payantes ou gratuites.

G* On est défoncés...ca me rappel la cousine de ma grand mére quand j'étais gamin. Toujours la meme robe rouge et cette odeur. Je ne sais pas quel médoc elle prenait. Mais elle finissait par marmonner toute seul sans jamais cligner des yeux, sur le meme sacré fauteuill en cuir, dans la pénombre. Des aprés midi entiére parfois, a péter.

T - Merde.

G* Merde ouais. Je la prenais pour ce truc rouge sang, le diable. Celui des livres et des dessins animés. Pourtant je ne croyais même pas en Dieu. Mais au diable oui. Le monde m'effrayait tellement, que le seul gouvernant de ce monde ne pouvait etre que lui.

T - Encore merde.

G* Encore merde oui. Pas que je le trouvais pourris le monde, au contraire quand t'es gamins si tu as une bonne famille c'est plutot merveilleux. Insouciant, c'est surtout ca, insouciant. Avec uen conscience d'animal.

T - Insouciant zoophile. T'ention sans aucune notion de sexe bien sure.

G* Mais cette femme était tellement étrange, sombre, hors de tout, avec cette peur, meme pour un enfant elle m'humer le mal du monde, je le sentais avec cette seul personne délirante. Elle n'étais pas méchante, mais pour un enfant son état aprés ses médocs, ca suffisait a mettre en vie un mythe.

G* Il devait y avoir du plastique dans ces ordures. Beaucoup de plastique.

VIDEO AVEC UN GROS ZIZI TUEUR

Ron Jeremy, petit bonhomme a moustache avec ventre bedonnant et accessoirement légende du porno. Ce Ron Jeremy la, actuellement en retraite du marché du cul, paye son steak en tournant dans un film de série Z assumé ou son sexe de légende devient l'alien moderne du massacre de groupe.
Dans un coin paumé...
Avec des filles nues...
Le black de service...
L'intello de service...
Des phrases bateaux...
Une série Z avec tous les ingrédients nécessaire a son statut.

jeudi 28 mai 2009

CHRONIQUE: DIALOGUER UN APRES MIDI


Véritable dialogue, peut être imaginé.

C'est une chambre ancienne, le papier peint reviens d'un age ou quelqu'un était un enfant.

T - Il aurait fallu qu'on soit ensemble.
J - Pour faire quoi ?
T - Je ne sais pas, être ensemble par ce qu'on s'aiment bien.
J - Ça me suffit qu'on soit ami et de passer certaine de mes nuits avec toi.

Elle se retourne, il vois ses fesses. Il y a un grain de beauté sur la droite, il se noie dedans.

T - Tu aimes être nue.
J - Qui n'aime pas ça ?
T - Je n'aimerais pas être nudiste.
J - Moi non plus, mais j'aime être nue.
T - J'aime que tu le soit.
J - Je sais.
T - Tu te la pète.
J - J'aimerais être assez jolie pour ça.
T - T'es qu'une putain de fille.
J - Ça te pose un problème ?
T - Les filles aimes bien dramatiser leur vie par ce qu'elles aiment Roméo et Juliette depuis le collège, sinon elles se font chier.
J - Parle pas de moi comme si j'étais pas la. Les garçons intelligent aiment les filles cinglées et c'est pas mieux.
T - T'es puérile petite garce, et tu me fait bander.
J - Ça me va.

Elle caresse son ventre dans le soleil, s'étire, il y a sa chair qui se dessine. La fenêtre ouverte, une immense eau bleu devant.

T - Il y a l'odeur de la mer, avec toi ça fais beaucoup.
J - Je crois que t'es amoureux bébé. C'est ça la bêtise.
T - Pourquoi l'on ne pourrait pas être amoureux ? Et puis je déteste "bébé".
J - On viens de baiser dans une chambre de petite fille. Tant qu'on en est la, a faire ça chez mes parents, c'est trop tôt pour que je t'appartienne.
T - Qu'est ce qu'il faut pour ça ?
J - Que je me vois vieillir.
T - Petite conne.
J -La petite conne joue de la guitare mardi, dans une petite salle et elle aimerais porter ton t-shirt "Doctor X".
T - Doctor X, lui, est a toi.

Appel Oyé Oyé

L'association MIAA (Mouvement d'intermittents d'Aide aux Autres) organise une brocante friperie au profit des sans-abris les 30 et 31 mai à la Petite Rockette - 6, rue St Maur 75011 Paris. Si vous avez des vieilles choses ont vous voulez vous débarrasser il y a un ramassage aujourd'hui et demain. Sinon vous pouvez venir visiter et boire un vin de pays.


si vous voulez plus d'infos sur cette asso: www.miaa.fr

mercredi 27 mai 2009

CLIP POUR DEAMBULER DANS UNE MAISON VIDE A 6 H DU MATIN AVEC UN VERRE DE CIDRE, EN ATTENDANT LE SOLEIL

BEACH HOUSE / YOU CAME TO ME

Musique de cathédrale pop, fantomatique, gorgée d'une douce mélancolie a l'image du clip. Un souvenir filmé, couleur ambre, qui semble se dérouler dans un ancien cabaret fauché, qui aurait produit sur scène des amateurs amoureux et surtout inconnues. Le cheap doucereux qu'on trouve amicale, réconfortant, beau. Leur musique vaux l'ange d'un jour gris qui d'éclaircie, c'est l'église du beautiful looser qui le prophétise.

Les deux albums de Beach house valent l'argent qu'ils demandent.

! SEXE ! SEXE ! SEXE !

L'ANUS, LE TROU DU CUL

Vaste tunnel a vocation fécale, bout d'intestin, muqueuse, sens unique qui fait trembler en façade la plupart des gens. De quoi ne pas trop donner l'envie.

Coincer entre deux fesses, ces deux choses qui cris d'érotisme avec leur sourire inversée et leur petite bouche trou du cul qui ne demande qu'a être explorer. Seconde bouche qui cherche l'amour des plus osés.

Il y a l'aspect propreté, "c'est dégueulasse c'est la qu'ya' la merde".
Oui, oui, mais c'est une muqueuse gluante qui ne laisse pas de place a l'encombrement...Le corps est une machine étonnante qui se suffit presque a lui même.

Il y a l'aspect utilitaire, "c'est pas fait pour ça".
Et ta bouche elle est faite pour sucer et lécher des langues ?

Il y a l'aspect, "ça fait mal".
Ce territoire c'est de la danse d'opéra tout en finesse et douceur, qui évoluera vers un un ballet rock 'n roll. Ce qui devrait finir par laisser place a un réelle plaisir hors de tout délire S.M pour les meilleur Indiana Jones d'entre vous.

Les filles aiment se le faire lécher, mais pas le faire a leur compagne /compagnon. Les hommes aime se le faire doigter mais ça ne se dit pas, "J'suis pas un P.D". Alors tout ça c'est de l'underground courant qui ferme sa gueule. Du punk kinder surprise. C'est la gamine de 15 ans qui sort sa mine de dégoût quand sa parle de masturbation entre copines, alors que ça viens de s'explorer le matin même sous la douche.

L'aventure du fin fond de la galaxie, la variante sexuel la plus banale, la jungle vierge pleine de mystère façon Ulysse 31, prête a vous ouvrir a de nouveaux trésors, jouant avec l'esprit et la prostate. C'est un truc a tester dans sa vie. Un petit doigt pour lancer la machine.
Vous n'aurez qu'a être bourré.

MORCEAU POUR MARCHER SUR L'EAU D'UN CANAL D'EVACUATION DES EAUX USEE

JULIANNA BARWICK
SUNLIGHT HEAVEN
/ CLOUDBANK

Le ski nautique c'est chouette, le pied nautique c'est mieux. On pourrait se faire des petites ballades sur un sol mouvant, il suffirais de regarder a ses pieds pour voir la transparence trouble sur lequel l'on se repose.Oui c'est de la philosophie métaphysique de merde, et alors ? Je suis un magazine en mauvais papier et j'aime ça.

Julianna Barwick profite de l'explosion du vide dans la musique. L'explosion digitale qui donne au monde un accés simple a la diffusion. Qui offre moins la promesse d'oubliettes aux étranges perles du monde de la musique. Jouant dans un minimalisme chanté a grand coup de vibrations de cordes vocales sans paroles.

La ou la voix devient le plus clairement un instruments comme les autres. Sa musique est une lumière divine qui vous coupe le son d'ambiance pour laisser parler la poésie avec ses meilleurs atouts, sans mots.Parfait comme chant pour une religion futur sans Dieu, ou lors d'un pic nic dans une prairie d'Eden avec soleil, du blanc, du beau vert, du beau bleu et tout le tralala idyllique. Et cette fille en jupe avec une fleur dans les cheveux, ses pieds sont nues.

L'image et le son font de cette article une affiche publicitaire pour un Eden accessible en navette spatiale. Ou l'on vous promettrais le retour vers le paradis perdu, le bien être foetale. Presque flippant.

08.99 / 10

MP3 :
http://www.sendspace.com/file/yvb4ea

Myspace :

http://www.myspace.com/juliannabarwick

Julianna Barwick
Florine Ep
http://www.emusic.com/album/Julianna-Barwick-Florine-MP3-Download/11439664.html

mardi 26 mai 2009

MOODD RADIO S'UPGRADE COMME UN GRAND


///////////////////EMISSIONS \\\\\\\\\\\\\\\\

MOOVE TO MOVE

Musique pour te réveiller joyeusement, toi, le sale zombie du réveille matin.

Du lundi au vendredi
07 h - 09 h



WEIRD

Musique pour s'hypnotiser, s'exploser, avec des trucs space plutôt posés. Quand on ne dort pas et qu'on a envi de se droguer avec du son. Car oui c'ets légale, chouette, youpi, plaboum...

Lundi
00 h - 02 h

Vendredi
01 h - 03 h

Dimanche
06 h - 08 h


MOOVIE LIKE CINEMA

De la musique de film pour quand on se déguiser en super héro avec des vieux t shirts pourris.

Lundi
14 h - 15 h

Mardi
21 h - 22 h

Samedi
07 h - 08h


Tout ca ici bien évidement sur les ondes digital de MOODD RADIO !

http://sv0.minisite.vestaradio.com/7020

(Pan dans tes dents tellement tu t'attendais pas a de la bande annonce de pro comme ça.)

/////////////////UPGRADE \\\\\\\\\\\\\\\\\\

* Désormais le noms de l'artiste et du morceau apparaissent a chaque fois.
* Nouvelles sélections de morceaux.

LA MINUTE DE DR. JO

Regardez moi ça,

le 20 août 1972 un certain label nommé Stax, carrément créateur de la musique soul de la fin des années 50 aux states organise un concert au Los Angeles Coliseum pour commémorer les émeutes meurtrières qui ont eu lieu en 1965 à Watts, banlieue pauvre de Los Angeles. Appelé aussi le Woodstock des noirs ce concert est encore un truc plus que mythique et bourré de pépites

Je vous laisse découvrir par vous même cet extrait hyperfunk des Bar Kays.
Wattstax est un film documentaire et un disque sorti chez Stax

God May Be Funky

CLIP POUR JOYEUSEMENT FUMER DE L'HERBE SYNTHETIQUE DECORATIVE

SUCKERS / EASY CHAIRS

La note du jour, pop sucrée qui reste en tête pour bouger le bassin comme un débile discrètement dans le métro. Clip qui embrasse comme il faut ce joyeux son. "Simpletteement" cool du boule.

QUESTION DE MERDE


"Tu préférerais être mangé vivant par des vélociraptores pendant 2 jours et 2 nuits ou vivre comme un homme tronc toute ta vie ?"

Ma réponse de merde:
Manger par des vélociraptores, suicide douloureux mais nécessaire a la vue d'une vie d'homme tronc qui doit se faire masturber par son aide soignante. Devant se satisfaire d'amour reçu uniquement par pitié.
Ah quel bonne ambiance je met ce mardi, un peu de sanatorium jaunâtre et de nihilisme de téléfilm de seconde zone.
Il pleut, il fait donc gris juste après l'été d'hier, peut être la l'explication de l'ambiance Patrick Sebastien dépressif en pleine crise de panique après avoir sniffé de la farine de blé a s'en boucher les narines.

Alors vos réponses de merde ?

MORCEAU POUR FAIRE LA MINETTE AUX YEUX BOUFFIS EN SLOWMOTION


BOWERBIRDS / NORTHERN LIGHTS

Erzatz papier calque de l'ours Bon iver. Bowerbirds nous pond un morceau d'automne pour l'été. Tout ça par ce qu'ils sont certainement célibataires et dépressifs. Reste loin de moi toi, non mais...Tss coucher.

Parfait pour une série américaine a collégiennes en manque d'amour, l'esprit gravé par un prince charmant façon frères Scott habillé comme des vieux habillé en jeunes. Jusqu'à ce qu'elles se rendent compte tardivement que le vrai prince charmant c'est plus Hank Mooddy, et tant mieux pour les poétes opposants a la guimauve.
On se laisse porter facilement dans les moments les plus tristes et pathétique par ce genre de niaivreries musicale, par ce qu'on est léthargique comme sa mamie aux antidepresseurs qui s'endort tous le temps dans ses filets de baves. Ca passe moins quand on est plus lucide et qu'on pleure des sucs gastrique en l'écoutant plus que de l'eau salé.

A écouter si vous vous faites larguer comme une merde un jour de saint Valentin pour un beauf qui a deux amour dans sa vie, votre ex et les voitures tunées avec un portrait de Kamaro sur le capot. En gros c'est pour quand la vie te met un coup dans les couilles ou les ovaires et y remue bien la jambe, prend une photo, la met sur le net pour etre visionné plus de 300 000 foi, et puis part dans sa voiture tunée avec des coup de klaxon qui émette du David Guetta.
Saloperie.

06.99/10

MP3 :
http://downloads.pitchforkmedia.com/Bowerbirds%20-%20Northern%20Lights.mp3

lundi 25 mai 2009

TOP 5 DES PROGRAMMES TV GRATUITS QUI FONT CHOUETTE DANS LES YEUX


MAN VS WILD
NT1 Le lundi a 22h

Un ancien paramilitaire des forces Britanniques s'auto largue dans les endroits les plus hostiles et désert de la terre. Pour nous montrer comment survivre.
Immense barjot S.M qui ouvre l'estomac d'un chameau pour pressé son vomi et boire le jus du contenu intestinale pour vous montrais comment survivre dans la Sahara quand on a très très soif. On peu boire le jus de caca des éléphant dans la savane, quand on a très très soif aussi, et si on ne vomi pas tout après, séquence vidéo du monsieur qui s'exécute après ses dires. Et nous on se dit "non il va pas le faire ce con quand même ?", ben si il saute dans une eau a -2 et mange des yeux d'agneau en putréfaction mort dans une chute depuis 3 jours.

En même temps on prend des cours sur la faune, la région, le folklore...Et les pires trucs qu'il est possible de faire quand on est presque mort.

KIRA KIRA JAPAN
NOLIFE Le samedi a 19h

Émission faite par des Japonais pour le publique Français, avec sa présentatrice mi timbré mi belle qui mène parfaitement la barque entre deux mini série délirante de haut niveau, des reportages sur le Japon, la modes, des magasins...A regarder surtout pour ces mini série a l'humour unique et underground. Qu'on ne pourrais voir ailleurs qu'a 5 h du mat sur canal + en cryptée.

TRACKS
ARTE Le vendredi a 22h55

Pas besoin d'en dire beaucoup. Vieille carcasse télévisuel du multiculturel a tendance musicale. Magazine vidéo under "deur" ground des tendance culturel en ébullition et de son héritage passé. Connu et reconnu et archi connu. Point.

LOST
TF1 Saison 5 cette été

Série "récente" venue directement (et plus encore au fils de ses saisons qui s'écoule) rejoindre le panthéon des grandes série. Juste a coté de la quatrième dimension. Série d'aventure, qui fais penser a la S.F survival des année 60/70, a l'esprit scientifique, fantastique. Génialement mener, écrit, interpréter. Bombe pop qui affiche des clins d'œil permanent a des œuvres sans pour autant se reposer la dessus. Élevant sa propre personnalité, son ambiance au dessous de tout ce qui a pu se faire ces 20 dernières années.
Une grandes bouffé d'oxygène qui travail nos ulcères par son rythme infernal et sa qualité précieuse, qui ne se trompe jamais. De mieux en mieux, tant on s'attendait a être déçu a la vue première de la densité et de la qualité du cette univers mystérieux.

Damon Lindeloff EST le vrai génie de cette épopée télévisuelle qui se finira l'année prochaine a cause de son histoire et non de sa perte de vitesse. Autre bon point qui empêche tout embourbement de saisons sans fin et d'histoire gâcher pour cause de succès. Simplement culte a en être rediffuser en boucle durant les centaines d'années qui arrivent.

CE SOIR OU JAMAIS
FRANCE 3 du lundi au vendredi a 23h15

Magistralement mené par le meilleur présentateur de la télévision moderne. Frédéric Taddei a construit une émission a son image. Intelligente sans s'auto branler, fine, ouverte, sans jamais se positionner avec mépris, posant toujours les bonnes questions...C'est l'émission culturel a débats dont notre génération avec besoin. Un condensé de réfléctions saine et d'intelligence qui raccommode nos neurones fondues par la chiasses acide et trop courante de l'ami télé.

VIDEO POUR NE PAS NE PAS BAISER



Car oui dans le temps on s'habiller comme des séniles bourrée de xanax en mal de couleurs, on dansaient comme des catins défoncés et les gens tué toute possibilité d'érotisme dans l'oeuf...Mais ont avait des génériques de logos vidéo qui tuais bien leurs races.

Il faut être plus que désespéré, immensément moche ou timide pour prendre cette vidéo au premier degré. A 14 ans encore, entre deux TMC charme...Mais plus tard une thérapie s'imposerais.

Pire encore quand je pense aux drogués de sucres qui ont écrit, produit, filmé, jouer ce délire intersidérale sur les relations humaines. Espérons simplement que les archéologues dans le futur ne détérerons pas cette vidéo pour érigé nos système sociaux. On aurait bien l'air con, mais au moins auront ils l'impression d'avoir bien évoluer.

Et des groupes d'anarchistes lancerons un appel aux anciennes techniques de séductions, jugé sain car antique et plus naturel. La, sonnera pour nous la fin de la race humaine, plus de reproduction...Anéanti par des leçons vidéos de drague des années 80. Hipi ka hé.

dimanche 24 mai 2009

LIVE AU SOLEIL AVEC BOISSON FRAICHE EN SUEUR D'EAU PERLE GLACE



Encore bloquer dans une vieille VHS venu d'un vieille été passé devant une scène foutraque avec un barbu qui ne sais pas s'habiller et qui balbutie en contre rythme.
Moi je danse.

INSTANT PULP

LA SCIENCE DÉPASSE LA FICTION SANS POUR AUTANT DEVOIR FINIR DANS UNE SECTE QUI PARLE DE COMPLOTS ET SE FABRIQUE DES CASQUE EN PAPIER D'ALUMINIUM

"En 1960, le grand physicien Freeman Dyson proposait un moyen simple pour repérer dans la Galaxie des civilisations extraterrestres très avancées. Gourmandes en énergie, elles devraient finir par coloniser leur système solaire et construire une sphère entourant leur étoile pour en utiliser toute l’énergie rayonnée.
Depuis quelques années un chercheur du Fermilab a entrepris de détecter de telles « sphères de Dyson »."


Tout simplement délicieux...Voir des gens, presque a moitié fou, réussir a dépasser l'impensable pour aller de l'avant. Pour en faire rire certain, il n'y a pas mieux. En général cela établi de vrais questions philosophique au passage, qui permette de remodeler notre appréhension des choses, la vision du monde, remettre en question l'établi actuelle et sa réalité.

Penser aux hommes pour qui (et c'était logique) le monde était plat, pour qui le monde était tellement mystérieux, effrayant, qu'il a fallu trouver une bonne masse de Dieux en tout genre pour soutenir tout ça.
Il a fallu attende que des hommes, amoureux du savoir, défi toute logique de l'évidence, dépasse la réalité de cette époque pour trouver la véritable forme du monde. Quit a mourir pour ses idées, bruler pour hérésie.

Les milliers de mystères qui nous entoure dépasse toutes les grandes folie littéraire, cinématographique et autres. Et ça fais de la vie quelque chose de passionnant. Milles mystères et théories existent.
Les O.V.N.I existent, mais ce ne sont peut être que de simple phénomène physique, ou des voyageurs du temps, ou d'univers parallèles, ou des extraterrestres, ou pas...
Tout en restant loin des maniaquo- fan - Geek de complots, petits gris et autres délires nauséabond qui décrédibilise cette univers scientifique de l'impensable.

Le LHC qui doit ré ouvrir cette année est le fantastique, ambitieux projet, la gargantuesque machine qui doit explorer ces mystères. Qui montre le sérieux scientifique de ces mystères. Et qui bouleversera certainement la science, et par la suite les technologies. Découverte d'autres univers ? du schéma physique unifiant de notre univers ? De nouvelles énergies ?

Si nous arrivions a créer des technologies et vaisseaux a l'image des O.V.N.I pouvant se mouvoir dans l'espace temps aussi facilement, nous trouverions de nombreuses poches de vies et nous aussi face a des civilisations inférieur nous ne nous montrerions pas. Dans l'idée d'une éthique pousser a l'extrême avec l'évolution, ou nous nous interdirions d'influer sur l'évolution naturelle d'autres peuples. Un peu comme quand on film un documentaire animalier et qu'on s'interdit de sauver le bébé lionceau d'une mort certaine. Nous n'aurions aucun échange utile a faire avec.

Il y a d'immense "twist" qu'il nous reste a découvrir, de quoi bouleverser notre civilisation, ses technologies, sa philosophie...

Mais quoi ?
(Oui c'ets un peu mon coté Pierre Bellemare a 2h du mat sur NT1, le sens de la dramaturgie a deux balles.)

SPHERE DE DYSON (source : futura science)
http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/physique-1/d/le-fermilab-a-la-recherche-des-extraterrestres-et-des-spheres-de-dyson_17533/

samedi 23 mai 2009

MORCEAU POUR JOUER AUX INDIENS UN DIMANCHE DE PLUIE ENTRE ADULTES


NATURAL SNOW BUILDING / GONE

Obscure groupe Francais méconnue jouant dans l'expérimentation folk, aux inspirations 60/70's, ambient, avec le grain sonore du micro pourri et des morceaux enregistrer d'une traite en live. Leurs albums sont difficilement trouvables et leur myspace quasiment cloitré. Certain de leurs morceaux font 46 minutes...

Groupes venu se glisser dans ma liste d'albums a trouver coute que coute, ce morceau "Gone" me fais penser a un hymne indien dans des couloirs de métro. Les 70's font sentir leur présence de hippies de la cote ouest. Autre lien avec les indiens.
Artistes qui existent depuisp lus de 10 ans maintenant et qui mériteraient bien plus de reconnaissance. Mais qui ne semble pas a la recherche de cela tant il n'aurait aucune difficulté a se vendre dans un vent de mode actuelle qui pond du cocoon, du the do et autre folk en bois.

J'imagine bien un feu de bois dans une foret en banlieue de ville, au sol jucher de vieilles capotes, machines a laver, détritus en tout genre, maison bric et broc de clodo, seringues. Glauque au possible voir burlesque dans son stéréotype. Au milieu de tout ça, en pleine nuit, des hippies anarchiste, mal habillé, en train de jouer un immense bordel musicale entre deux prises de champignons hallucinogène bio. L'esprit triste et heureux d'être libre et pleins de crasses. Certain animaux estropiés sortent même des feuilles pour s'approcher.

08 / 10

MP3 :
http://www.sendspace.com/file/cjbilu

Ghost folk / album gratuit :
http://www.lastfm.fr/music/Natural+Snow+Buildings/Ghost+Folks

Myspace :
http://www.myspace.com/naturalsnowbuildings

VIDEO POUSSIERE DE DESERT ET SYMPHONIE

WESTERN MODERNE

Rockstar, boite vidéoludique pour lequel j'ai déjà étaler mon amour profond ici. Je dirais juste que cette vidéo résume bien la qualité première de Rockstar qui est de proposer des produits de qualité alors qu'avec la licence GTA dans leurs mains ils n'ont pas besoin de se donner tout ce mal pour avoir les poches pleines de billets. Ne prenant pas le joueur pour un bourrin assoifer de violence, de peoples, poitrine et trucs trop cool sa race
Bien écrits, bien réaliser, la bande annonce donne envie de voir ce western se déroulant a la fin de l'époque du far west sur grand écran.
Le dernier grand western étant Kill bill 2...



PARA ONE / BEETHOVEN

Para one artiste éléctro responsable entre autre de la B.O fantomatique du (bon) film "La naissance des pieuvres". Il reprend la "Septième" de Beethoven avec un petit coté Vangelis dans certain recoin et surtout, ce qui ma plu, il y apporte une ampleur d'obscurité encore plus vibrante.

vendredi 22 mai 2009

MIAMI VICE EN MAISON DE RETRAITE TRISTE ET LAGAFF EN JEU VIDEO RACISTE

BONTEMPI DU PLAISIR



Musicien amateur, membre du forum Twoism, dont j'avais deja parlé rici. Saturday index se livre a un live d'artiste obscure qui ne veux pas se montrer. On remarquera tout d ememe qu'il porte un bonnet, une autre influence Boquienne chez ce "twoismeure"...
Synth kitch a la yamaha pour colloc d'entrprise, il reste la maitrise de ses doigts et la mélodie douce amére qui laisse habilement échapper de son esprit. Un simple mélodie qu'il déploie sous plusieurs angle longuement pour notre plaisir. A vomir ou a frissoner.

BLAGUES RACISTE SUR ATARI SANS BIGDIL



Vincent Lagaff ca fais penser a des costard ultra coloré et tout pourris devant un Bigdil en 3D du meme acabit. Ca fais penser a une coupe capillaire de merde, a du jet ski, a une tentative de carriére dans le porno.
On oubli trop sa carriére dans les 90's pour les plus jeunes d'entre nous, avec ses tubes tel que "le bidet" ou encore son personnage "Moktar". Sorte d'arabe caricaturale, voleur de scooter. Magnifique personnage shakspirien que Titus (ancien editeur francais disparu aujourd'hui et responsable de bien belle daube) décida d'adapter en jeu video pour Atari.
Une belle fiente de pixels, raciste et involontairement drole. Il aura fallu un chroniqueur ANGLAIS plein d'humour pour nous ressortir cette perle d'immondices...

ABOUT BLANK : CHAPITRE 14


14/ Moustique écrasé sur chemise blanche a manche longue neuve et chère



Réveil sur un son de levé de soleil. C’est ce qui est décrit dans le programme des réveils. Fascicule blanc, écriture noire, aucune signature, aucun nom d’établissement, de personnes, de marques, ni Club-med ni Novotel. Le rien défini tout ici. Dessus : « Dernière semaine d'août : Lever de soleil ». En vrai, le soleil ne fait aucun bruit quand il se lève, ni quand il se couche. Il me reste encore assez de recul pour me rappeler ça.
Le son ressemble à une mélodie de bon synthétiseur des années quatre vingt, qui augmente en puissance lentement. Mes sons de réveils préférés étant : «Semaine trois de juillet : Mouche synthétique », mélodie lente composée de grosses basses, mélancolique. «Semaine un d’août : famille de cristal vert», mélodie mi-aiguë, rapide mais douce, plutôt lumineuse. «Semaine deux d’août : marche», beat léger et minimaliste, longue vague de synthétiseur, belle mélodie, voix déformer en fond qui chante quelque chose d’inaudible. Je n’arrive pas a dire si c’est sombre ou lumineux. J'essaie toujours de comprendre pourquoi ce papier et le seul programme décrit ici, au lieu de nous donner le programme des repas ou de je ne sais pas, au lieu de se présenter. J’enfile mes habilles toujours bien ranger, par des gens, des choses que je n’ai toujours pas vue. Je prie juste que ce ne soit pas des choses comme Gustave. Je ne préfère pas y penser. J’enfile mon bonnet de laine. Depuis que je m’endors naturellement, les maux de tête et la nausée ont disparu. Ça me permet de mettre de côté des pilules violettes, de les garder pour tuer, ou pour un suicide. Pour la première fois de ma vie, mes problèmes de sommeil sont à mon avantage. Quand aux verte je n’en est qu’une, comme tous le monde.
Je veux baiser ce « ils ». Il faut juste faire comme si. D a encore disparu je ne sais ou. Je ne dit rien. Je compose le 2912 sur le cadran du téléphone. Une porte blanche invisible coulisse et éventre le mur. Dedans, une cabine de douche ou l’eau tombe du plafond par des trous en une sorte grosse pluie, a l’eau déjà savonneuse. Un lavabo, plutôt un gros bol d'où sort l'eau en fontaine d’un petit cône arrondi au centre. Aucun miroirs, nulle par ici. Je rince mon maigre visage de cette seule eau tiède qui sort ici. Aucun choix de températures. Aucun ustensiles, ni brosse a dents, ni coton tige, ni rasoir, ni coupe ongles. On se réveil les dents laver, les oreilles propres, raser, les ongles couper. Dix minutes d’eau de douches par jour, j’ai compté dans ma tête. La salle de bain, je l’avais trouvée en trifouillant le téléphone a cadran, j’avais rentrer ma date de naissance. Depuis j’en essaie beaucoup d’autre. La date de naissance de tous les gens proche de moi, la date de ma première fois, la date de la mort de ma grand mère, la date de la révolution français etc.Je me demande ce qu’ils savent sur moi. Surement tout. La première découverte fut les écoutes de chambres. Il y en a un différent pour chaque numéro jusqu'à neuf. Neuf chambres. Neuf étages. Je compose le un et j’entends la chambre une, avec quelqu’un, comme moi dans une chambre vierge, a un autre étage. Mon écoute préférée étant la chambre six, ou il y a cet homme qui parle seul, qui raconte sa vie. Daniel. C’est un programme télé a lui seul, ce que j’aime chez lui comparer au autre, c’est qu’il ne semble pas effrayer ou perdu, c’est comme s’il enregistrer une cassette de sa vie, de lui, a conserver dans un dossier après sa mort. Je l’imagine, c’est devenu mon ami imaginaire. On ne peu pas se parler au travers du téléphone, mais je lui parle quand même parfois. Il y a aussi une jeune fille, le 2, je ne sais même pas si elle est majeur, seize ans peut être, elle pleure et baragouine des choses, ça devient vite énervant, mais elle ne parle plus depuis une semaine. Un homme âgé qui parle de son jardin et de toutes les femmes de sa vie, le 5. Et pour finir une femme dans la quarantaine, le 9, qui parle sans cesse de dieu et de complot, vite barbant, je ne l’es jamais surpris sur un autre sujet. Ce sont les seuls que j’entends parler en tout cas. Les autres la 3,4,7,8, sont juste des bruit de mouvements, de marche, de déjeuner. Le 3 doit être un homme car je crois l’entendre manger ses déjections nasale régulièrement. Le 4 je me demande si ce n’est pas une pièce vide, mais je pense y avoir entendu une respiration lente. Le 7 a d’abord étais quelqu’un d’ordonner qui sembler sans cesse faire du rangement puis il a semblé avoir disparu et faire place a un autre 7 qui fait beaucoup d’exercice et tape contre les murs. Le 8 se fait vomir tous les jours. J’entends chez les autres ma propre bêtise, ma propre niaiserie. Ma névrose me sauve. Si l'ont essaient de partir, dehors, on finit dans son lit avec mal de crânes et nausées. J’ai entendu chez certain la destruction de leurs neurones par voie médicamenteuse, je suis persuader que c’est du a des endormissements forcer, par gaz ou autre, quand on sort des règles. Trop s’endormir de force crame le cerveau. Les règles ne sont écrites nulle part ici, il faut les trouver. Et ne pas les oublier. Personne pour vous expliquer comment ça marche. Ce lieu est comme un magnétoscope neuf, complexes, sans manuel.
Ma thèse, que j’écris, je la garde dans ma tête, je compte sur elle pour me sauver. De quoi je ne sais pas. D, j’en suis sure en sais bien plus que moi. D m’a mis ici. Mais il faut faire comme si, ne pas oublier de suivre son train train tout en gardant son esprit le plus sain possible. Pour ne pas disparaître je ne sais ou du jour au lendemain. Partir avec Gustave comme le premier 7 peut être.
Je ne serais pas surpris que le frère de D, y soit pour quelque chose ici. Pendant que le monde est censer ne plus exister. Nous sommes des Noé, des jésus, des Adam, des graines. C’est ce que dit Gustave sur la ligne 1, dans la chambre 1. Ses paroles évangéliques et un vrombissement terrorisant c’est tout ce qui en sort de la 1. Je ne l’écoute jamais. Petit bruit piquant comme si j’avais reçu un sms, signe de déjeuner. Je suis dans un lieu de vie aéroport. Le plateau-repas est la devant la porte dans son carton blanc qui tiens au chaud. Le plateau me rappel les plateaux-repas livrés aux vieux a domicile. Tout sur un même plateau, les haricots verts violet, une sorte de pavé carrée de mélange de viande, poulet/bœuf/poisson je crois, j’espère. Je pense disparition et soleil vert. Gâteau brun sableux, rond, fromage crémeux sans goût, triangulaire, bonbon a sucer goût fraise, gobelet rempli d’une eau rose, au goût indéfinissable, ni bon, ni mauvais. Une pilule violette, et une chose nouvelle, un petit sachet avec une sorte de poudre fine blanche. Je la sens, trempe le bout de ma langue dedans et en tire une grimace acide. Ni coke, ni farine, ni sucre, ni levain.Je verse le sachet dans le gobelet. Ça pétille légèrement. Est ce que je doit le boire ? Où est ce que ça va me tuer ? Est ce que Gustave va venir me voir sinon ? Est ce que ça doit me rendre stérile ? Est ce qu’il y a d’autre centre comme celui la, avec d’autre survivant comme nous ailleurs ? Perdu comme nous ? Nulle part.
« Bruit de papillons dépendants ».
Sonnerie comme celle d'un téléphone, mélodie agaçante mais légère, aigue déformé de cuivres. Je regarde le gobelet au mélange mystérieux, l’avale d’un traite. Goût de jus de bonbon, de médicaments pour enfants. Je décroche le combiné qui émet le bruit de papillons dépendants, le silence au bout du fil, comme d’habitude, je dit :
- C'était normal, mangeable.
Le silence raccroche. La dernière fois que le silence a appelée, c'était après mon sommeil, après qu’ils est rangé, nettoyer ma pièce, mes dents, couper mes ongles, raser mon visage. Je lui est raconté, au silence, ma perte de fantasme, d’érections, même au réveil. Est ce que c’est le psychologue de cette endroit. Un psychologue muet ? Ou juste un voyeur ? D ?
Cet endroit n’a aucune odeur, même d’odeur aseptisée, d’odeur d’hôpital. Je m’endors. Nouveau jour. Quand je me réveille, dans l’étagère à habit, il y a un petit cahier blanc, de la couverte aux cent vingt pages que je compte dans ma tête, sans aucune lignes, ni marges. Papier recyclé. À côté un petit sachet plastique transparent rempli de mines épaisses de crayon.
Est ce que j’ai étais sage ? Qu’ils sont fiers de moi ? Est ce que les autres ont eu des cahiers et un sachet de mine de crayons ?
Peut-être veulent-ils ma thèse sur papier. Ça ressemble de plus en plus à une sorte d’expérience scientifique, et toujours ce spectre nazi. Je décide d’y marquer toutes mes idées sur ce lieux toute mes découvertes. J’énumère mes suppositions par ligne, par chambre, le fonctionnement des journées, l’arrivée des repas, les pilules, mon envi de tuer D, mes thèses sur ce lieu, celle qui sont resté. Cet endroit pourrait être un abri contre la fin du monde, bien que le peu de dehors que j’aperçois a la surface ne me semble pas calciné. Peut-être un trou noir ? Ou peut être une tout autre folie des plus inimaginables. Peut-être que je veux tuer D alors qu’elle m’a sauvé la vie. Est ce qu’elle est ici, Avec son père son frère ? Pourquoi ce conditionnement ? Mes mains sont noirs, j’écris difficilement du bout des doigts en tenant les petites mines. Je dessine aussi Gustave, avec ses grands yeux de mouches. Je pense que c’est un extraterrestre ou un déguisement. Peut-être qu’une race extraterrestre supérieure me conserve dans leurs bocaux. Peut-être que j’ai étais tiré au sort pour une expérience gouvernementale ou tout autre organisation mondiale secrète.

jeudi 21 mai 2009

MORCEAU EPIQUE POUR RESOUDRE UN PROBLEME


YOKO SHIMOMURA / IKARI KINGDOM

Morceau a l'ampleur symphonique rappelant les grandes envolées cinématographique old school qui font déjà de moi un vieux con raleur. Tiré d'un Kingdom hearts pour cosplayer ambigus en pleine chaleurs japonisantes. Oubliés les mèches pleines de gel pour ces faux transsexuels qui fantasme sur ce genre d'univers typiquement japonais, gouter moi cette came d'orchestre symphonique en grande forme.

Ça rappel du Joe Hisaishi, du John William...Du grand cinéma quoi, épique, ici destiné a accompagner une expérience vidéoludique de plutôt bonne facture. Même si rappelons le, Kingdom heart est un "spin", un mélange, vidéoludique entre l'univers geekeste de Final Fantasy et l'enfantin monde de Disney...Un vrai timbre de LSD en polygone bon a déclencher des crises de panique mélangeant mélancolie de l'enfance, sexualité refoulé, syndrome de Peter Pan, scènes de pur délire ou, par exemple, Donald invoque Simba pour combattre la sorcière de la belle au bois dormant...

A écouter en s'imaginant glisser dans les airs vers un château de princesse pour empecher la destruction du monde.

MP3 :
http://www.sendspace.com/file/w9p3gn

POINTER LE FOND DU TROU MECHAMMENT


GRÉGOIRE

Énigme humaine absolue, barbue a la mode star academy / kinder bueno, lisse dans son sketch permanent et involontaire tel la couverture photoshop d'un "Girl magazine" et son roman photo "Dire non a la sodomie quand on a 14 ans". Sur-homme qui sent le axe pour collégien et dont le super pouvoir est de réussir a toujours être dans un premier degré genre je baisse un peu la tête et je te fais un regard de tueur dans mon esprit. L'aspect d'un mec qui n'aurait jamais récupérer du violent choc crânien sur le goudron, en tombant de son vélo une journée de sa douzième années. Vous ne trouvez pas ?

Bébé barboteur d'une trentaine d'années, inconscient de la débilitée profondément ridicule de chacun de ses pas effectués avec un sérieux "Chuck Norrien"(oui ici on aime bien inventer des mots vulgaires a la pelle, qui feraient certainement imploser Eric Zemmour). Soutenu par une masse musicale en manque d'institution sectaire ou le gourou vous baise quand il le veut avec un regard de tueur "dans son esprit". Masse bonne pour la figuration d'un énième film de zombie, lobotomisé par les pubs Madrange avec sa petite fille qui personnellement me donne des cauchemars suants. Paroles de ses chansons au delà du réel dans la niaiserie, qui dépasse l'ironie ou la pastiche, on se frotte les yeux, le cul aussi, non c'est belle est bien réel. Mulder aurait laisser ses petits gris pour Grégoire.

Premier artiste "hit" du fameux site (dont je ne ferais pas la pub) ou les internautes produisent eux mêmes les artistes. Bonnes intentions, utopie du bon gout qui pourris rapidement. Le serpent se mord la queue et il vaux mieux le laisser sous son rocher. Le boomerang dans ta gueule.

Plus que quelque mois a attendre avant qu'il ne rejoigne l'inconnue et les gala dans les maisons de retraite, patience.

mercredi 20 mai 2009

TRICO : LYRISME VIDEOLUDIQUE



Il y a des claques artistique qui font pleurer de joie. Des sursaut magnifique qui apaisent des mauvaises choses.
Ico est le premier jeu a avoir atteins un tel niveau de poésie dans le polygone vidéoludique a son époque. Digne des plus grandes œuvres poétique, beau, intelligent, touchant. Il y a "Le roi et l'oiseau" croisé a du Myazaki, de la 3D a l'identité graphique et sonore unique. Un expérience qui retourne par sa sincérité, sa beauté extrême qui creuse dans nos ventres.

Dans le premier chapitre, Ico, il fallait s'échapper d'un château en tenant par la main une muse qui parlait une langue incompréhensible. L'amour, la différence...et autres. Traiter d'une bien belle manière.

Dans le deuxième, "Shadow of the collossus", l'on cherchait a détruire des colosses éparpiller entre montagnes et plaines, dans l'objectif de ressusciter sa femme aimé qui avait rejoins la mort. Se clôturant d'une manière magistrale et inattendu, faisant le lien avec le premier épisode.

Deux objets qui donne l'excuse des pleures.

Le troisième projet tant attendu du père créateur de ces œuvres au delà du biblique par sa force, semble être un troisième chapitre de cette apparente trilogie a la beauté infinie. Bande annonce tomber du ciel, qui émeu tant par l'image et le son, que par l'aventure auquel il faut s'attendre. Un imminente gravure dans nos cœurs sortie du froid esprit d'une machine qu'est la ps3..

mardi 19 mai 2009

UN PORTO, DE NUIT, SEUL DANS UN IMMEUBLE D'AFFAIRE


On en profite pour enlever ses chaussures, imprégnant la moquette de leurs humidités, boulets étouffant de la fin de journée. Écoutant les néons et la climatisation, les lumières derrière les grandes fenêtres, vitrines de verres qui regardent la ville avec notre reflet qui vole dans le vide et nous imite. Ces milliers de lucioles électroniques accompagnent une mélancolie scintillante au travers de ces murs noirs de nuit. Seul au monde dans un endroit immense qui ne vie que par l'agitation. Regardant l'endroit inhabituellement apaisé, ouaté dans notre saine solitude contemplative.

Il y a la tristesse VHS d'une chaine T.V qui passe des clips un de ces soir de la fin 80 et du début 90. Repensant a tous ce qui c'est écouler. Au design encore nauséabond, aux couleurs, a l'odeur d'un lampadaire jaunâtre a coté d'une vieille borne SNCF d'un orange qui n'existe plus. Le cheap des grands moments, le plastique d'un appareil photo "lomo" bon marché dans les années 70's qui aujourd'hui est un objet de mode. Il y a toutes ces années qui vont se faire et toutes ces réfléctions qui s'y collent dans l'obscurité imposé. Pour ceux qui n'arrivent pas a se reposer quand on est censé se laisser dormir.

Poète alcoolique de seconde zone a la mine clone "Gainsbourgnienne". Peut être... Mais non.
Vapeur musicale d'un simple bon vieux morceau des moins simples années sombres d'une fin de millénaire ou le sida viens passer son écharpe rouge autour de nos cou, Gainsbourg y meurt, les extraterrestres semble être partout et la fin du monde sera causé par un bug d'horlogerie.
Hume.

lundi 18 mai 2009

PHOENIX : LIVE EN BOIS FORMAT MINI ET AVIS D'UN GEODESIC QUI ADORE L'ALLEMAGNE EN FAUX

BRULE POUR VOIR

Phoenix, sans doute le meilleur groupe de rock Français actuelle. Phrase écrites des centaines voir des milliers de fois, par la presse et les gens normaux. Phrase qui pour une fois est justifier, il n'y a rien d'autre a dire.Parfois énervant, sans doute dansant, interminablement tubesque, tristement adolescent, joyeusement inconscient, de la mode et être con. Phoenix c'est le connard de beau gosse qui a de bonnes notes et qui est cool avec tous le monde.

1901 et Liztomania tournant avec leurs mélodies sangsues depuis quelques bon lustres déjà sur le net pour fournir nos oreilles et faire monter les attentes.

Personne 1 avec une voix a la Mika
- En plus Thomas Mars il est avec Sofia Copppola est c'est trop de la hype churros beautiful looser quoi.

Personne 2 (surement Geodesic)

- Ta gueule.

La hype les pénètres profondément façon bois de Vincennes avec travello citée au guiness book. Mais ces jeunes hommes charmants qui avant la célébrité tournés en guise d'orchestre avec Air lors de leurs première tournée, sont des bons de la pop. Méritant amplement l'aura dégager par leurs tubes, que chacun de leurs album contient. Depuis leur dernier forfait musicale que j'avais écouter en boucle de bon mois durant, ils m'avaient conquis de la corne des pieds aux bouts des cheveux. Leur univers "adulescent" nouvelle génération a fais péter la baraque.

Leur dernier album, Amadeus Phoenix, m'a paru caricaturale dépasser les deux tubes citées plus haut, tout se ressemble après ce point de non retour. Et ça me rappel les vision d'horreur inspiré par les autoroutes allemandes...Ne m'en demander pas plus sur ce point, c'est étrange mais ça parlera peut être a certain.

Le live ici, produit de leur tournée promotionnel, donne lieu a une session "Unplegged" de très bon gout. Un liztomania doux qui remplis de mélancolie amoureuse et un playground love tirée de la B.O de Virgin suicide. Morceau culte d'un Air et d'un Phoenix rencontrée sur une piste audio autour du suicides de vierges américaines.

NOTE :
Conseiller pour séduire de la minette / Risque de coma et convultions pour les Parisiennes en slims.




ABOUT BLANK : CHAPITRE 13


13/ La langue bleue

Daniel me tend un café que j’accepte avec appétit, pour sa rareté. Il est sûrement décaféiné.
- Comment c’est passer la nuit ?
- Agréable, D n’a pas trop ronflé où parler dans son sommeil pour une fois. Et puis elle a une peau est tellement douce. Surtout depuis qu’on a trouvé la salle de bain.
- Moi j’ai mis deux jours de plus que vous à la trouver.
Nous buvons une partie de nos cafés en même temps. « Disorder » Joy division en fond à bas volume.
- J’avais de la colère, mais je n'en est plus maintenant, ça ne sert a rien ,surtout maintenant. De toute façon ils ne sont plus là. Plus personne contre qui être en colère, le monde parfait quoi.
- Ah ça C’est sure. Je voulais te demander .
- Oui ?
- Tu la revu depuis ?
- Non.
- Tant mieux.
- Oui tant mieux.
Il avale son café d’une traite.
- Je peux te demander autre chose… ?
- Bien sûr Daniel.
- Tu…Il te reste des pilules ?
- Violette ou verte ?
- Non, non, les violette bien sure, je n’en suis pas encore là. Ne t’inquiète pas c’est rien.
- Je crois que oui. Mais tu as déjà fini les tiennes ?
- Que veux-tu les temps sont durs.
- Je vais voir ça, de toute façon D ne les prend pas. J’avoue que moi aussi j’en prends plus que ma ration personnelle.
Ont se sourit.
- Tu es mieux avec cette barbe de quinze jours.
- Merci Daniel. D aime bien aussi. Moi aussi. Et quinze jours oui c'est exacte.
Daniel, cinquante-six ans, Petit, dégarni, petite lunette, patron d’une boîte de prothèses mammaires.
- Ça fait chier la fin du monde.
- C’est le bon terme oui, mais on a besoin de nous. Tu devrais le comprendre maintenant quand même. Même si ce n’est que ton premier mois. Et puis on est chanceux quand même. Finalement.
- Si tu le dit.
Il me regarde bizarrement.
- Mouais. Bon je vais dans ma chambre, si tu veux m’écouter, n’hésite pas. Le 6 toujours le 6.
- Comment puis-je oublier mon numéro d’écoute préférer ?
Sourire sur ma bouche gercer.

jeudi 14 mai 2009

VIDEOS POETE ET CONNES

POÉSIE EN VIEILLE AMÉRIQUE

Commençons par le bucolique, l'épique silencieux. Plan séquence qui introduit les anglais dans le nouveau monde. Magnifique film de Terrence Malik, aux images brulantes de beautés, porté par une musique de Wagner que l'on aurait pu croire composer par un groupe moderne d'ambient symphonique, Stars of the Lid par exemple...



DU PIPI DANS TON CLUB DE GOLF

Le télé achat c'est la perle des réalisations de films au style film d'entreprise pour vendre des absurdités totale. Publique Français encore plus favorisé par les magnifique doublage dans la langue de Moliére qui viennent se foutre complètement a coter de la plaque. Ici l'on va retenir l'absurdité de l'objet vendu.



FAIL AAAH

Mon petit instant vidéo gag que j'assume avec plaisir. Années 80 et grandes folles, magnifique spectacle.



LA RELIGION EXPLIQUER AUX ENFANTS HÉROÏNOMANES ET CANNIBALES

Ça c'est de l'émission qui supplante nos dimanche matin télévisuelle religieux. Vous aimez la religion ? la drogue ? les jouets enfantins sociopathe sur un plateau télé improviser dans une cave ? les montage vidéos fais par des maniacodépressif illuminé et bourrée de coke ? Attention cette vidéo peut aussi provoquer des traumatismes.



TÉLÉ ACHALIGIEU

Télé achat, religion, même combat ? Dieu a apparement réussi a s'acheter la paradis grâce son entreprise de biscuits...

ABOUT BLANK : CHAPITRE 12



12/ Peluche moche gagnée à la fête foraine


Orchestre de violons en monter grave. Je me resserre sous ma couette et ma tête a mal. La lumière est toujours la, je n’est aucune idée de l’heure, aucune horloge, aucune fenêtre, ici sous terre, je pense que je me situe a ce niveau. Logique. Les violons s’arrêtent doucement, je ne vois aucun haut-parleur dans la pièce, je n’arrive pas à deviner d’où viens le son. Très mégalomaniaque comme réveille matin. Je n’est aucun souvenir d’avoir demander a me faire réveiller, je n’ai pas souvenir d’avoir vu âme qui vive ici bas ou la bas haut. J’ai mal aux yeux. Assis sur le lit, je frotte mes yeux, étire mes bras, je me suis étrangement rapidement endormi hier soir. Et j'ai comme une gueule de bois, je crois. Mes habits qui étaient éparpillés sur le lit sont maintenant pliés soigneusement dans l’étagère. Sensation déplaisante de gens inconnus vous observant dans le sommeil, pouvant toucher, tripoter. J'essaie de prendre ça pour une attention positive envers une personne aisée et j'évite de penser au mot « piège » et « éviscération ». Je pense a mon portable en me demandant pourquoi je n’avait pas essayer d’appeler qui que ce soit avec, hier. Je suis toujours en vie, je peux le faire maintenant. Appeler qui pour quoi ? J’aurais besoin d’une bonne douche chaude, d'une bonne thérapie. Il fait toujours aussi froid, mais il n'y a aucune climatisation en vue, ou clavier de régulation de la température, même pas le bruit habituel d’aération des chambres d’hôtel. Alors ce n’est pas une chambre d’hôtel. Pas de confortable moquette, un sol tiède blanc pur. Je sort le portable, l’écran est vide, éteint. J’essaie de l’allumer, rien. Tant de film d’horreur montre cette scéne qu’une douce panique me prend et me réveille totalement. Je prends le chargeur, le branche au portable, cherche une prise dans la pièce, sous le lit, derrière la table de nuit, le néant encore et toujours. Pas d’heure, pas d’appel au secours. Je regarde le téléphone a cadran sur la table de nuit, m’approche et décroche le combiner pour le coller à mon oreille. Il émet un gênant bruit de silence téléphonique. Comme s’il y avait quelqu’un de l’autre coté du fil, dans une pièce sans bruit, mais que ce quelqu’un ne faisait qu’écouter. J’appuie sur les touches, ce qui déclenche des bruits de touches, rien d’autre. Il faut que je remonte « à la surface ». J'enfile mes chaussures et sort à pas presser par la porte coulissante. Longe le couloir blanc vide. A un mètre de l'ascenseur, il s'ouvre de lui même et je rentre dans son ventre. Je me ronge un ongle. Sensation de monter, éternité, ouverture des portes. Le hall, si je peux le nommé ainsi, n’a pas changer. La nuit est toujours dehors. Je regarde derrière le comptoir, rien. Ni bureau, ni papier, ni stylo, ni trace de vie, même passé. Je passe la porte d’entrée pour me retrouver a l'air libre qui est glaciale. Entouré de neiges, sans traces, les miennes ont disparus. Je ne suis pas tenté de la prendre dans mes mains et c’est la première fois de ma vie. De la condensation ondule de ma de ma bouche. J’aimerais rester longtemps dehors, mais le froid glace ma chair. Je prends cette fois peur de l’état du monde, D pourrais en être responsable. De ce froid soudain en plein mois d’été. Elle m’avait bien offert un bonnet avec le mot : « Il va faire de plus en plus froid » a l’intérieur. Salope. J’observe l’obscurité derrière le vitrage de la porte et toujours aucune lumière dans cette obscurité. Quelques flocons de neige épais flotte dans le rayon lumineux intérieur qui traverse la vitre au-dehors. Le détail de la neige ne m’affecte pas autant qu’il le devrait pour un mois d'été, je crois. Ça pourrais être crédible, mais quand on pense au fond des choses tout pourrait être crédible, je devrais m'inquiéter de la neige. J'essaie d’attendre ici allonger sur le canapé, me parlant a moi-même. Attendre le jour. Je m’endors. Orchestre de violons en monter grave. Je me resserre sous ma couette. Un douleur dans le crane. J’émerge et je suis dans le lit de la chambre blanche en sous-sol. Mes habits pliés, rangés dans l’étagère, avec mes chaussures. Est ce que j'ai rêver ? Je regarde mon portable, toujours éteint. Je décroche le téléphone a cadran. Une voix de femme synthétisé sans émotions ni compassions :
- Appuyer sur 1 pour entendre 1…Appuyer sur 2 pour entendre 2...Appuyer sur 3 pour entendre 3…Appuyer sur 4 pour…
Entendre autre chose que ma voix me rend moins lourd. J’appuie sur 1, la voix coupe, suivie d’un bruit de grésillement. Puis bruit de silence de pièce silencieuse accompagné de bruits de quelque chose qui semble bouger, marcher, toucher quelque chose. Ce quelque chose chante une chanson la bouche fermer, j’ai l’impression que c’est une fille, une femme, quelque chose de féminin ou de castrer.
- D ? D ? Tu m’entends ? Ou qui ce soit d’autre ? Ce n’est pas D ? Aller vous faire foutre bande de nazis.
Je prie un être tout puissant qui n’existe pas pour que le jour se soit levé. Je mets mes chaussures, prend le bonnet dans l’enveloppe kraft, l’enfile et mon nez est rouge à cause du froid.
Je réchauffe mes mains entre mes cuisses à l’intérieur de mon jean. Je prends le même couloir toujours aussi fade, toujours aussi blanc, blanc à rendre barje. Arrivé face à l’ascenseur, il ne s’ouvre pas. J'ai peur d' être enfermé, retenu en otage, détenu, prisonnier de je ne sais qui. De D. Mais je n'est aucune addiction bordel, rien a soigner ! Je la déteste et je veux partir et ne pas me retourner, ne plus jamais me retourner, je le promets. J’entends l’ascenseur descendre, mon ventre est plus léger. Le bruit de l’ascenseur stop, quelques secondes dans le vide. Ma main gauche tremble. Je regarde le sol fixement, tête baisser. La porte s’ouvre, je lève les yeux et suis foudroyé d’un courant électrique qui me fige, courant électrique de la terreur. Mes yeux sont sur un grand être terrifiant. À la peau grise, aux grands yeux noirs hostiles, parfaitement ronds qui me font penser a ceux d’une mouche, a la petite bouche frissonnante, sans sourcils, sans nez, sans cheveux, habillés d’un grand manteau noir, de grosses chaussures de randonné couleur marrons aux pieds. Il n’a aucune expression, si ce n’est une impression d'hostilité. Il est immobile, dans l’ascenseur. Je suis une statue, espérant qu’il ne me verra pas si je ne bouge pas. Je le prend pour un T-rex dans Jurassic park. La porte se referme. Tremblotant pitoyablement de tout mes membres, je court jusqu'à la chambre, hors d’haleine. Le cœur palpitant comme jamais. Je fait ma cachette comme un enfant sous la couette, tremblant, bavant. La lumière faibli, puis s’éteint. Mon nez saigne. Je m’endors où tombe dans les pommes je ne sais plus, je ne sais pas.